Charles Aznavour (2024) avec Tahar Rahim, réalisé par Mehdi Idir et Grand corps malade.

 

Je viens de lire les avis presse et spectateurs, et j’avoue être surprise par les personnes qui sont encore capable de ne mettre qu’une étoile.

 

Suis-je si bon public que cela ? Probablement.  J’ai aimé. C’est tout ce que je peux dire.  J’ai adoré même ! J’ai vibré du début à la fin avec Tahar Rahim, prodigieux et respectueux à l’infini de la personne de Charles Aznavour. J’ai même pleuré de le voir si solitaire et si insatisfait, si ambitieux et si malheureux…de ce fils qui se suicide, à ses origines si précieuses…à sa loyauté et sa générosité sans failles.

 

Une générosité financière et matérielle, une pugnacité sans nom… les réalisateurs m’ont appris à aimer Charles Aznavour en mettant en relief l’être humain, le parolier talentueux qu’il a été.

 

Ravie de savoir que sa mémoire peut au fond demeurer légendaire.

Ses œuvres m’ont émue, sa façon de gérer ses émotions m’a transportée.

 

Une inspiration artistique irrémédiable.

 

Mes ouvrages intitulés La couleur des émotions et Le jour où j’ai commencé à effacer les ombres peuvent se rapprocher de cette recherche de paix et de résistance.

 

Vous trouverez également de nombreux articles sur mon site web : https://joelineandriana.com.

 

A bientôt !

 

Joéline ANDRIANA.

Docteur en Psychologie. Auteur et conférencier (she/her).

Création de site internet