Les misérables (2018-2019), série Britannique et américaine avec Dominic West, lily Collins et David Oyelowo, est une adaptation du roman de Victor Hugo. Nous y retrouvons les personnages Jean Valjean, un « galérien » condamné à passer dix-neuf ans de sa vie aux bagnes de Toulon pour avoir volé un pain et l’inspecteur Javert incarné par David Oyelowo. C’est un Paris du XIX -ième siècle qui est également décrit.

 

J’ai beaucoup aimé les acteurs et les actrices qui incarnaient de façon prodigieuse les caractéristiques personnelles décrites par Victor Hugo. J’ai aussi aimé la manière dont le réalisateur Andrew Davies s’est approprié le scénario et a choisi les acteurs. Cette liberté d’expression, de facilitation cinématographique m’a beaucoup plu.

 

Je salue la force et la beauté de Dominic West, que je ne connaissais pas vraiment. Il a rempli sa mission d’homme qui a dû se dépatouiller avec ses émotions, ses résistances et ses schémas socio-économiques.

 

En lisant le roman de Victor Hugo, je suis ravie de pouvoir y mettre des images, des visages,  des voix et des postures… Cela rend plus aisé son décryptage… Il me semble important de reprendre le livre et de me nourrir des mots et des expressions de Victor Hugo, qui forment de véritables citations pour la vie, pour le monde…

 

Quelques fois, ses mots sont repris dans la série, et c’est plutôt judicieux de la part du réalisateur.

 

Je suis passée à côté de ce roman pendant des années, pensant à tort qu’il ne m’était pas accessible… Bien sûr, il est écrit avec un vocabulaire fourni et riche, bien sûr Victor Hugo fait partie de ces écrivains indémodables et inévitables, mais l’ampleur de ses ouvrages en fait un auteur mythique et presque intouchable

 

Je suis ravie que le cinéma puisse reprendre avec autant de splendeur des manuscrits aussi cossus… Ravie de savoir que ces écrits seront éternels… que les mots puissent révéler autant de possibilités infinies.

 

Bien évidemment, chacun peut avoir une conception personnelle de l’existence de Dieu, de la religion… Ici, ils sont le prétexte à faire le bien, à faire du bien… Malgré le drame de la vie de Jean Valjean et par là même de la vie de Javert, de Fantine et des Thénardier…. Les drames humains, des relations humaines, de la guerre et de la poussière d’ignominie qu’elle génère…

 

C’est noir, oui, mais c’est révélateur d’une génération qui se sacrifie pour la génération suivante… des destins animés par le fil conducteur de l’amour, l’amour entre le prêtre pour les hommes, l’amour de Jean Valjean pour Cosette, et l’amour de Marius pour Cosette… L’amour qui triomphe à tous les coups…

 

 

Mes ouvrages intitulés Je suis une femme et j’ai trente ans et Cette nouvelle vie pourrait avoir plus de sens. Explorez vos infinies possibilités sont proches de cette ouverture vers les bienfaits de l’humanité.

 

Vous trouverez également de nombreux articles sur mon site web : https://joelineandriana.com.

 

A bientôt !

 

Joéline ANDRIANA.

Docteur en Psychologie. Auteur et conférencier (she/her).

 

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